Ateliers A.T.L.A.S
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Lundi 23 septembre à 16h30 à la cafétéria collective Kali rue saint Thomas 32, 4000 Liège
Comme promis et annoncé, l’arpentage et la rencontre avec Olivier Starquit a trouvé sa date de report : cela se déroulera le lundi 23 septembre à la cafétéria collective Kali. L’arpentage* commencera à 16h30 et le moment de rencontre et d’échange se déroulera vers 18h.
C’est l’occasion d’explorer les réflexions et les propositions d’Olivier Starquit, présentées dans son dernier ouvrage « Le Poing, la Rose et le Putois ».
« Le Poing, la Rose et le Putois » (2024) propose une analyse incisive des quatre décennies de néolibéralisme qui ont contribué à l'érosion des symboles de conflit organisé et de résistance démocratique. L’essai met en lumière les causes profondes de cette érosion et appelle à une nouvelle dynamique pour contrer la montée de l’extrême droite. En redonnant vie au poing tendu et en levant une rose, symbole d’espoir et de projet collectif, il nous esquisse une voie pour transformer la colère en action positive et renouveler notre confiance en l’action collective.
* L’arpentage permet la lecture collective d’un livre, en peu de temps, par un découpage et une répartition des contenus entre les lecteur.trice.s. La mise en commun s’effectue au sein d’un dispositif d’échanges et d’analyse critique autour des idées développées par l’auteur. Le livre est fourni sur place. Il est possible de participer uniquement à l’un des deux temps même si nous conseillons d’être présent aux deux moments.
L’activité est libre et accessible à tous.tes mais nécessite une inscription au préalable auprès de :
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vendredi 13 septembre dès 14h à Barricade, rue Pierreuse 15, 4000 Liège
Peuple & Culture WB ASBL, Barricade ASBL et Serhildan vous invitent à un arpentage du livre Du plat pays au peuple des montagnes - Écrits d'un internationaliste belge au Rojava de Diego Del Norte suivi d'un échange avec l'auteur. On vous donne rendez-vous le vendredi 13 septembre dès 14h à Barricade, rue Pierreuse 19-21.
Diego del Norte est un militant internationaliste belge. Après avoir passé plus d'un an au Rojava, la région autonome kurde en Syrie, il nous revient avec un recueil de textes publié sous le titre Du plat pays au peuple des montagnes - Écrits d'un internationaliste belge au Rojava. Dans ce livre, il partage son expérience personnelle.
Ses écrits ne se présentent ni comme une enquête journalistique ni comme une analyse géopolitique. Ils relèvent plutôt d'une écriture à la première personne, mêlant carnet de voyage et carnet de guerre, oscillant entre réflexions personnelles et poésie. Diego nous livre ainsi un témoignage authentique et sincère d'un camarade qui est allé à la rencontre du peuple des montagnes, de ses vivants et de ses morts, de ses doutes et de ses espoirs. Il évoque la révolution kurde, considérée comme l'une des principales du XXIe siècle, conquis son autonomie contre la dictature de Bachal El Assad, a vaincu Daesh et continue de résister à la guerre impitoyable menée par le régime d'Erdogan.
Activité libre mais inscription souhaitée sur
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Lundi 22 Juillet - Arpentage du livre « Hargne et mouvement » de Rosy Rosema Romarin à cc Kali rue Saint-Thomas 32, Liège. Accueil à 18h
« Avec une connaissance approfondie et une expérience de première main des itinéraires et des récits de migration, Hargne et mouvement tisse des histoire personnelles d’amour et de deuil avec les récits de personnes en mouvement – de sorte que lea lecteurice se retrouve avec un brouillage des frontières, non seulement sur la terre, mais aussi dans le soi […] Il s’agit d’un exposé des abus commis par Frontex dans les zones frontières […] Les écrits de Rosy sont bien conçus, vulnérables, honnêtes et courageux, et ancrés dans la conviction qu’ensemble, nous pouvons vaincre le fascisme. »
Le livre de Rosy relève de l’expérience de vécu des luttes No border. Cette proposition d’atelier est une amorce sensible à la question de la mobilisation contre les frontières. Cette activité d'arpentage s'inscrit dans un cycle qui prendra la forme de plusieurs activités autours de cette question jusqu'à la mobilisation de septembre contre le centre fermé de Jumet.
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Mardi 18 juin à partir de 17h30 au CPCR, 11 Jonruelle 4000 Liège
« Qui sont les casseurs ? » telle est la question posée dans ce livre de Jean-François Tamellini, Secrétaire général de la FGTB Wallonne.
Renversant la formule de la loi « anti-casseurs » du ministre de la Justice Van Quickenborne, qui avait mené à la campagne « Manifestants, pas criminels », cet ouvrage incisif mène l’enquête. Les partis de droite, les actionnaires et les lobbies du système économique capitaliste sont ceux qui profitent des crises (pensons à celle du Covid ou de l'Ukraine) afin de maximiser les profits d’une minorité au détriment de la majorité. Ce sont eux qui, à force de tentatives d’intimidation, de campagnes de dénigrement et de pressions sur la justice, brisent les équilibres sociaux. Bref, pour l’auteur, les véritables casseurs ne sont pas ceux désignés par les médias, mais bien ceux opérant dans les coulisses du pouvoir. Ne se contentant pas de poser des constats, le livre se veut également un appel urgent à la transformation sociale et politique et dresse quelques pistes.
Pour la sortie de ce livre, Peuple et Culture vous invite à un atelier d’arpentage qui se déroulera le 18 juin dans les locaux du CPCR (rue Jonruelle n°11). Accueil à 17h30, début de l’atelier à 18h. Le lendemain, le 19 juin, dans ses locaux le CPCR organisera une conférence-débat en présence de Jean-François Tamellini. Accueil à 18h30, début de la conférence-débat à 19h.
L’activité d’arpentage est libre et gratuite mais nécessite une inscription à
Pour la conférence, pour toute question ou inscription, vous pouvez contacter :
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mercredi 15 mai 2024 de 18h30 à 21h30 à Peuple et Culture Wallonie-Bruxelles, rue du Beau-Mur 45 4030 Liège
Le concept de « Woke / Wokisme » a été popularisé ces dernières années d’abord par des forces d’extrême droite étasunienne comme une insulte à l’encontre des personnes militants contre les discriminations et pour la justice sociale ou environnementale. Il a ensuite traversé l’Atlantique pour rejoindre l’Europe au sein des forces de droite et d’extrême droite. Devenu la problématique de la décennie de 2020, on ne compte plus les articles de presse ou polémique allant de son opinion sur le sujet construisant une « menace woke » qui mettrait en péril nos sociétés.
En Belgique, cette panique morale a également le vent en poupe. Bart De Wever, le leader de la première force électorale de Belgique, a sorti cette année un livre intitulé « Woke » où il veut pourfendre « la haine de soi », « la culture de la repentance » et défendre « la liberté d’expression » - quitte, pour cela, à reprendre les thématiques et la pensée du Vlaams Belang.
A travers deux ateliers d’arpentage, « Woke » de Bart de Wever et « Résister à la panique morale woke » de Francis Dupuis Déri, nous envisagerons de manière critique les thèses des deux auteurs et nous en débattrons ensuite collectivement.
Réservation souhaitée par mail:
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Mercredi 8 mai 2024 de 18h30 à 21h30 à Peuple et Culture Wallonie-Bruxelles, rue du Beau-Mur 45 4030 Liège
Le concept de « Woke / Wokisme » a été popularisé ces dernières années d’abord par des forces d’extrême droite étasunienne comme une insulte à l’encontre des personnes militants contre les discriminations et pour la justice sociale ou environnementale. Il a ensuite traversé l’Atlantique pour rejoindre l’Europe au sein des forces de droite et d’extrême droite. Devenu la problématique de la décennie de 2020, on ne compte plus les articles de presse ou polémique allant de son opinion sur le sujet construisant une « menace woke » qui mettrait en péril nos sociétés.
En Belgique, cette panique morale a également le vent en poupe. Bart De Wever, le leader de la première force électorale de Belgique, a sorti cette année un livre intitulé « Woke » où il veut pourfendre « la haine de soi », « la culture de la repentance » et défendre « la liberté d’expression » - quitte, pour cela, à reprendre les thématiques et la pensée du Vlaams Belang.
A travers deux ateliers d’arpentage, « Woke » de Bart de Wever et « Résister à la panique morale woke » de Francis Dupuis Déri, nous envisagerons de manière critique les thèses des deux auteurs et nous en débattrons ensuite collectivement.
Réservation souhaitée par mail:
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Mercredi 24 Avril 2024 de 18h à 21h30 - Peuple et Culture, rue du Beau Mur 45, 4030 Grivegnée
« D’élection en élection, une lame de fond s’abat sur chaque citoyen : les réseaux sociaux nous manipulent et déchirent notre tissu social. De fait, la science révèle notre dangereuse inadaptation à la nouvelle donne numérique. Comment se prémunir des intoxications à l’heure du vote ? »
Alors que les élections approchent, Peuple et Culture vous propose de vous questionner sur le rôle de plus en plus présent des réseaux sociaux dans nos vies. Ceux-ci constituent un véritable espace public à part entière mais demeurent tout de même des plateformes privées reliées à des entreprises peut-être pas si philanthropique… Vente de nos données, algorithmes conçus pour nous empêcher de nous déconnecter, quel impact cet univers numérique peut-il avoir sur nos choix électoraux ? Jusqu’à quel point pouvons-nous résister à cette manipulation d’un nouveau genre ?
Pour répondre à ces questions et découvrir « les pistes concrètes, tant individuelles que collectives, pour nous protéger et préserver nos démocraties », prêtons-nous à l’exercice de l’arpentage de « TOXIC DATA » de David Chavalarias !
Réservation obligatoire par mail:
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Jeudi 22 février de 17h30 à 21h30 à Barricade ASBL, rue Pierreuse 19-21, 4000 Liège
Peuple et Culture et Barricade vous proposent deux soirées pour aborder les idées défendues par la militante Elsa Deck Marsaut, cofondatrice de "Fracas", collectif féministe et queer d'entraide militante à la prise en charge des conflits et des violences en milieu intracommunautaire.
Quitte à marcher sur une ligne de crête, l'autrice nous invite à assumer le conflit afin de pouvoir renforcer tant nos luttes que nos collectifs. Ces deux soirées seront consacrées aux idées, expériences et propositions qu'elle porte sur l'abolitionnisme pénal, la justice transformatrice, la violence, la souffrance, mais aussi sur sa critique du "moralisme progressiste" qui fait parfois perdurer les logiques punitives au sein des milieux en lutte sans arriver à prendre soin des victimes ni à transformer nos communautés.
Le jeudi 22 février à 17h30 dans les locaux de Barricade : arpentage* de son livre « Faire Justice - Moralisme progressiste et pratiques punitives dans la lutte contre les violences sexistes ».
« Les mesures sont expéditives et les outils pour faire justice sont encore profondément empreints d’une philosophie punitive : menace, exclusion, harcèlement, dénonciation publique et discréditation politique. Comment sortir de cette impasse? La question est d’autant plus difficile qu’elle surgit au moment où les forces réactionnaires mènent une large offensive contre le wokisme (sic) pour mieux protéger ceux qui organisent les violences dans nos sociétés. » Présentation par l'éditeur, La Fabrique.
* L’arpentage permet la lecture collective d’un livre, en peu de temps, par un découpage et une répartition des contenus entre les lecteur.trice.s. La mise en commun s’effectue au sein d’un dispositif d’échanges et d’analyse critique autour des idées développées par l’auteur. Il est donc recommandé de ne pas lire le livre avant. Le livre est fourni sur place. L’activité est libre et accessible à tous.tes mais nécessite une inscription au préalable auprès de :
Vendredi 23 février à 19h au CPCR (rue Jonruelle n°11)
ATTENTION : au vu de l'affluence attendue, nous déplaçons l'événement dans un lieu plus grand. La conférence-débat aura ainsi lieu au CPCR, 11 rue Jonruelle, qui se trouve à 10 minutes à pied de Barricade.
Peuple et Culture et Barricade vous proposent deux soirées pour aborder les idées défendues par la militante Elsa Deck Marsaut, cofondatrice de "Fracas", collectif féministe et queer d'entraide militante à la prise en charge des conflits et des violences en milieu intracommunautaire.
Quitte à marcher sur une ligne de crête, l'autrice nous invite à assumer le conflit afin de pouvoir renforcer tant nos luttes que nos collectifs. Ces deux soirées seront consacrées aux idées, expériences et propositions qu'elle porte sur l'abolitionnisme pénal, la justice transformatrice, la violence, la souffrance, mais aussi sur sa critique du "moralisme progressiste" qui fait parfois perdurer les logiques punitives au sein des milieux en lutte sans arriver à prendre soin des victimes ni à transformer nos communautés.
Le vendredi 23 février à 19h dans les locaux de Barricade (rue Pierreuse 19-21) du CPCR (rue Jonruelle 11), rencontre avec l’autrice. Il n'est pas nécessaire d'avoir participé à l'arpentage pour venir à la rencontre.
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Lundi 29 janvier 2024 à partir de 18h00 dans les locaux de PEC 45 rue du Beau Mur 4030 Grivegnée
Elias Sanbar, historien et poète palestinien, est l’auteur du livre « La Palestine expliquée à tout le monde ». Dans ce petit ouvrage accessible par tout le monde et construit à partir de questions simples, l’auteur plonge dans différentes sources historiques (tant occidentales qu’arabes ou israéliennes) afin de nous raconter l’histoire de la Palestine, en revenant brièvement au XIXème siècle à partir de l’empire Ottoman, pour mieux nous dévoiler l’histoire de la Terre Sainte et de ses habitants depuis 1917 jusqu’à aujourd’hui en nous retraçant les différents acteurs et événements qui s’y sont déroulés. Un livre nécessaire et à mettre dans toutes les mains pour mieux comprendre l’actualité.
Peuple et Culture WB ASBL propose un arpentage* du livre le lundi 29 janvier à 18h dans ses locaux (rue du beau-mur 45 4030 Liège – bus 13 arrêt de la limite ou à 5/10 minutes à pied de la Médiacité).
L’activité est gratuite mais l’inscription est nécessaire sur
(*) L’arpentage permet la lecture collective d’un livre, en peu de temps, par un découpage et une répartition des contenus entre les lecteur.trice.s. La mise en commun s’effectue au sein d’un dispositif d’échanges et d’analyse critique autour des idées développées par l’auteur. Il est donc recommandé de ne pas lire le livre avant. Le livre est fourni par PEC.
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« Le lien entre l'extrême droite et la défense de l'environnement n'a rien d'évident. Pourtant, il existe bel et bien une pensée écofasciste au sein de la grande famille des idéologies nationalistes et identitaires. Démographie, tensions entre localisme et universalisme, immigration... Les théories écofascistes sèment un certain trouble dans l'écologie politique. Et même si aucun gouvernement ne s'en est revendiqué, la mouvance, encore embryonnaire, pourrait bien s'intensifier dans les années à venir. »
L’extrême droite semble se frayer de plus en plus de place au sein des différentes scènes politiques européennes. De plus en plus, ses discours haineux trouvent des moyens de se faire entendre à travers les médias. Dans sa stratégie d’occupation cette place médiatique, s’emparant de tous les sujets de société, c’est désormais à l’écologie qui se voit instrumentalisée.
A travers l’arpentage de La Tentation Ecofasciste de Pierre Madelin, nous vous proposons de nous saisir collectivement de ce concept d’écofascisme ? Que signifie-t-il ? Comment l’extrême droite traite de l’écologie ? Quels sont les risques pour la démocratie ? Dans une société de plus en plus confuse, prenons le temps de comprendre le monde qui nous entoure.
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Sale flic est le résultat d’une enquête de plus de cinq ans, menée dans les coulisses de la police belge par les journalistes Philippe Engels et Thomas Haulotte. Et ce qu’ils dévoilent fait froid dans le dos : les policiers qui veulent briser l’omerta sur la violence, l’impunité et le harcèlement sont parqués dans un « couloir des déportés », les faux PV sont légion, des flics se rasent la barbe pour éviter d’être reconnus après la baston, les zones d’ombre autour de la mort brutale de simples suspects ou de détenus se multiplient. Et tout cela arrive près de chez nous.
Sale flic brosse le portrait sans concession d’une police belge déboussolée, contaminée de l’intérieur par les dérives racistes et violentes. Une institution à bout de souffle, où les managers sont descendus par la base, où le découragement atteint des sommets, où l’impuissance chronique reflète celle des magistrats et du monde politique. Une police qui ne parvient plus à lutter contre la criminalité organisée. Une police gravement malade.
La littérature sur la police ne manque pas. Les dernières années nous ont offert un certain nombre d’ouvrages qui nous ont permis de mieux comprendre cette institution, son origine, son mode de fonctionnement. Or, la quasi-totalité nous parle de la police française. Mais qu’en est-il en Belgique ? Quelles sont les spécificités de la police belge ?
Pour répondre à ces questions, Peuple et Culture vous invite à l’arpentage de « Sale Flic » la première enquête journalistique réelle. Découvrons ensemble les révélations de Philippe Engels et Thomas Haulotte, emparons-nous des problématiques qu’ils soulèvent : que faire de la violence de plus en plus extrême de l’institution policière ?
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« On dit que les territoires nous façonnent. J’avais dix ans quand j’ai compris que le dérèglement climatique menaçait mon univers entier, et toutes mes histoires de famille, dont les glaciers renferment le souvenir. » Camille Étienne a grandi dans un espace en voie de disparition. Dans un de ces lieux où le danger est déjà réel, concret.
Face à un effondrement d’une telle ampleur, il est aisé de sombrer dans la paralysie. Mais, nous dit-elle, « notre impuissance est une construction qui ne nous appartient pas », et qui sert ceux qui exercent et jouissent pleinement de leur pouvoir.Dans cet essai, Camille Étienne identifie les mythes qui nous entravent : éco-anxiété, fracture générationnelle, déclic, fausses peurs. Les paniques morales n’ont qu’un dessein : nous distraire de la peur qui devrait nous habiter et pourrait nous pousser à désobéir, ralentir ou cesser de coopérer.
Dans une société qui nous conditionne à aborder le réel à partir de notre individualité, il y a de quoi se sentir tout petit face au gigantesque problème que nous pose la question climatique. De cette sensation que chacun a pu éprouver naît un sentiment d’impuissance considérable. Que suis-je face à ce problème ? Comment pourrais-je être d’une quelconque utilité pour aider à le résoudre ? Ainsi, beaucoup se résigne ou alors se complaise dans leurs « petits gestes pour la planète ». Mais peut-on imaginer autre chose ensemble ?
A travers l’arpentage de l’ouvrage « Pour un soulèvement écologique » de Camille Etienne, nous nous mettrons en recherche de cette alternative. Par cette technique de lecture collective, par l’échange et le débat sur les thèses de ce livre, nous essayerons de nous faire « dépasser notre impuissance collective ».
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